L’ouverture de ce musée inédit dédié aux parfums et à l’olfaction vient enrichir l’offre muséale parisienne. Il relève le défi d’exposer l’invisible en plongeant les visiteurs au cœur d’une expérience sensorielle et artistique hors du commun. 

Par son parcours interactif et sa scénographie innovante, le musée s’appuie sur les dernières technologies. Il retrace en trois grandes étapes l’histoire des parfums depuis l’Egypte des pharaons jusqu’à nos jours, invitant à découvrir une collection olfactive unique constituée de plus de 60 odeurs à sentir tout au long de la visite.

Le Grand Musée du Parfum se veut un lieu d’échange, de partage et de rencontres. Indépendant, il s’attache tout particulièrement à la transmission de ce patrimoine immatériel, la valorisation de savoir-faire, les processus de création et la démarche artistique et scientifique des parfumeurs, afin de les rendre accessibles au plus grand nombre. 

Une exposition-vente est proposée du 27 janvier au 25 mars 2017  au Musée de la poupée-Paris

Elle réunit des collections privées de poupées en tissu bourré et de peluches fabriquées durant les années Vingt et Trente.

La poupée en tissu existe depuis très longtemps mais, cette matière étant très périssable, il est rare de trouver des spécimens datant d'avant 1900.

En Europe, la mode pour les poupées en tissu s'est développée au début du XX siècle avec la prise de conscience que la poupée traditionnelle à tête en porcelaine et au corps articulé en bois et composition ne correspondait pas complètement aux attentes des enfants.

Elle ne favorisait pas le jeu autant que la poupée en tissu, plus douce, plus souple, plus légère, facile à manier et surtout incassable et inoffensive.

Parmi les femmes qui se sont se distinguées dans la création de poupées bourrées, Margarete Steiff en Allemagne, Elena König Scavini en Italie, Norah Wellings en Angleterre, parmi d'autres, ont commencé par réaliser des poupées artisanales.

Très vite, les principaux pays européens fabriquèrent leurs propres 'poupées artistiques', comme on les appelait à l'époque. 

De parfaites incarnations du style Déco qui fit fureur entre les deux guerres.

Jusqu’au 20 février 2017 La Fondation Louis Vuitton à Paris, présente une exceptionnelle collection de chefs-d'œuvre de l'art moderne du collectionneur   Sergueï Chtchoukine (1854-1936). 

 L’exposition "Icônes de l’art moderne" rassemble 127 œuvres, sur les 278 accumulées par le collectionneur, industriel moscovite féru d’art moderne français du début du XXe siècle.

Le Musée Jacquemart-André présente jusqu’au 23 janvier 2017 une vingtaine de tableaux et une trentaine d’œuvres graphiques qui permettent aux visiteurs de découvrir l’immense talent de Rembrandt.

Maître de l’art hollandais du XVIIe siècle, Rembrandt a dominé son temps dans trois domaines : la peinture, la gravure et le dessin.

Il a sans relâche expérimenté différentes techniques pour traduire sa vision de l’homme et du monde qui l’entoure. Réaliste à l’extrême, il est aussi mystique. Virtuose, il ne se laisse pas aller à la facilité.

Habité d’un pouvoir créatif qui force l’admiration, Rembrandt interroge dans ses œuvres la destinée humaine, tout en s’attachant à représenter son cercle intime.

Jusqu’au 17 juillet 2016, la Monnaie de Paris accueille l’exposition Merci Raymond par Bertrand Lavier.

Une séance de spiritisme avec Bernard Blistène et Bertrand Lavier est proposée le 28 juin à 19h

Accès libre dans la limite des places disponibles.

Afin de rendre hommage aux liens que Raymond Hains avait tissé entre le quotidien, l’art, les sciences et le monde du subconscient, Bertrand Lavier et Bernard Blistène nous mettent en condition pour toucher du doigt l’univers du fantôme de Hains

L’esprit facétieux de Raymond Hains est mis en scène par Bernard Blistène, Directeur du musée national d’art moderne - Centre Pompidou lors d’une séance de spiritisme avec Bertrand Lavier.

Raymond Hains

Plus qu’une exposition, ce sont des histoires, des anecdotes, des sensations que Bertrand Lavier met en scène dans les salons XVIIIème de la Monnaie de Paris en créant des correspondances et des confrontations inattendues avec les œuvres de Raymond Hains, décédé en 2005.